
Sur les bords du
ruisseau qui s’écoule vers toi
Fleurissent des pensées qui me mettent en émoi.
Je les voudrais tranquilles, mais elles sont turbulentes,
Et ça n’est pas facile de faire taire des sentiments.
J’ai mal dormi, tu m’échappais au fil de l’eau.
Je voulais te saisir mais tu fuyais aussitôt.
J’ai crié, j’ai pleuré, je t’ai même suppliée.
Rien n’y à fait, tu as disparu, comme envolée.
Sur les bords du ruisseau qui s’en va trop rapide
Se flétrissent des idées qui me laissent un grand vide.
Tu va disparaître, t’envoler, je n’ai pas su te garder.
J’aurais bien pu t’aimer, mais ton cœur s'est fané.


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Musique:
Ballade pour Adeline
(Richard Claydermann)
Effets dynamiques:
Curseur magique.

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