.Mais comme on vieillit vite, à ne pas voir le temps,

Autant celui qui passe, que celui qu'on suspend.

A griffonner de croix, tout le calendrier,

Et en tête de bois dire "non, moi je n'ai pas compté"

Oublier avec lui le crayon des jours à railler,

Quand les heures s'emmêlent au délice de le vivre

Et, tenter un timide "quoi, j'aurais bouché le sablier ?"

Personne ne sera dupe mais ce sera pied de nez

À la fatalité qui se joue de nos vies.

Elle serait trop ravie de nous voir en supplique

Mais nous n'en ferons rien .elle ne nous aura pas

Car toujours il y aura le destin pour renouer nos coeurs

Et bien d'autres demains à vouer au bonheur.

Nous serons les plus forts, les plus aimants aussi

Ainsi ira ma vie jamais lassée de lui.

 

 

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