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Un Janvier défaisait sa valise Les yeux dans l'eau du souvenir L'hiver brodait ses dentelles Au grand froid que tout craquelle. Les dunes,le ciel et les nuages Semblaient de brume et d'orage Cet hiver repassait mes désirs Sur l'envie de lui appartenir Assise à la fenêtre solitaire Gaie je ne l'étais guère Au vent poudreux d'en bas Qu'une envie,salir les draps Vers lui mes pensées voguaient De cette rencontre que j'avais fait Par ce soir de froidure,je l'ai aimé Jour et nuit,je dois me retourner Dans mes bras il est mon ombre Qui me suit dans mes jours sombres Depuis ce temps plus de répit Que des rêves de folie Que je fais,éveillée ou endormie C'est pour moi un réconfort Cet homme je l'aime si fort Il est la plus douce de mes folies L'absence est à l'amour , Ce que au feu est le vent Il éteint le petit,il allume le grand .
Un Janvier défaisait sa valise Les yeux dans l'eau du souvenir L'hiver brodait ses dentelles Au grand froid que tout craquelle.
Les dunes,le ciel et les nuages Semblaient de brume et d'orage Cet hiver repassait mes désirs Sur l'envie de lui appartenir Assise à la fenêtre solitaire Gaie je ne l'étais guère Au vent poudreux d'en bas Qu'une envie,salir les draps Vers lui mes pensées voguaient De cette rencontre que j'avais fait Par ce soir de froidure,je l'ai aimé Jour et nuit,je dois me retourner Dans mes bras il est mon ombre Qui me suit dans mes jours sombres Depuis ce temps plus de répit Que des rêves de folie Que je fais,éveillée ou endormie C'est pour moi un réconfort Cet homme je l'aime si fort Il est la plus douce de mes folies L'absence est à l'amour , Ce que au feu est le vent Il éteint le petit,il allume le grand .
Les dunes,le ciel et les nuages Semblaient de brume et d'orage Cet hiver repassait mes désirs Sur l'envie de lui appartenir Assise à la fenêtre solitaire Gaie je ne l'étais guère Au vent poudreux d'en bas Qu'une envie,salir les draps Vers lui mes pensées voguaient De cette rencontre que j'avais fait Par ce soir de froidure,je l'ai aimé Jour et nuit,je dois me retourner
Les dunes,le ciel et les nuages Semblaient de brume et d'orage Cet hiver repassait mes désirs Sur l'envie de lui appartenir
Assise à la fenêtre solitaire Gaie je ne l'étais guère Au vent poudreux d'en bas Qu'une envie,salir les draps Vers lui mes pensées voguaient De cette rencontre que j'avais fait Par ce soir de froidure,je l'ai aimé Jour et nuit,je dois me retourner
Assise à la fenêtre solitaire Gaie je ne l'étais guère Au vent poudreux d'en bas Qu'une envie,salir les draps
Vers lui mes pensées voguaient De cette rencontre que j'avais fait Par ce soir de froidure,je l'ai aimé Jour et nuit,je dois me retourner
Dans mes bras il est mon ombre Qui me suit dans mes jours sombres Depuis ce temps plus de répit Que des rêves de folie
Que je fais,éveillée ou endormie C'est pour moi un réconfort Cet homme je l'aime si fort Il est la plus douce de mes folies L'absence est à l'amour , Ce que au feu est le vent Il éteint le petit,il allume le grand .
Que je fais,éveillée ou endormie C'est pour moi un réconfort Cet homme je l'aime si fort Il est la plus douce de mes folies
L'absence est à l'amour , Ce que au feu est le vent Il éteint le petit,il allume le grand .
Musique:
Rêverie
Claude Debussy
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Page créée le Mardi 5 Février 2008
Révision : mercredi 20 février 2008 00:25:16 +0100
Auteur des textes : Concepteur du site: GRZ
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