
Ne
dis rien, ma Douce Pivoine, dans Ton émoi,
La
chaleur de ton regard parle pour Toi,
La
douceur de tes mots silencieux m'embrase.
Mes
lèvres autour de ton bourgeon, suivent
les remous,
Le goût
de ta peau, si délicieux, si doux,
Le parfum
musqué de ta moiteur m'enivre.
Ne bouges pas, mon ange, lorsque tu es sur
moi,
Tu n'as pas besoin de te bercer, pour me sentir en Toi,
La chaleur de
ta lave en fusion, m'irradie et me consume.

Laisse tes
bras étendus, gardes
ton appui,
Telles les
ailes d'un ange, tu es désirable,
La sensation
de ta liqueur m'a incendiée.

Concèdes
moi ces délicieux instants,
de te faire
l'amour tendrement,
Laisse ta
chaleur me consumer lentement.

Comme
je te l'ai
promis, quand tu es partie.... ce matin,
Jamais
je ne
pourrai oublier
Comment
ta
tendresse et ta douceur m'ont marqué.


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