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Le temps
s'écoule sans décence
Je sens ce grand vide de l'absence
Un papier, qui traine sur le lit
Dans un vase, une fleur flétrit. |
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Il s'en est allé simplement sans prévenir
Sait-il ? Qu’il va me manquer dans mes délires
L'envie, de retrouver ces instants de bonheur
Mais il ne reste que brûlure dans mon cœur. |
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De cette douleur, où trouver mon centre ?
Une voix, cherche l'apaisement de mes sens
Dans la continuité de mes rêves et désirs
De ce manque qui m'égare à ne plus finir. |
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Épuise
t'on jamais ? Le sentiment de l'absence
Pour quelques pas arrachés à la tourmente
Comment éviter ? Le vertige de la chute
Traverser les eaux, sans toucher au tumulte. |
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L’absence, n'a que l'éclat de sa chute
Elle éteint la dernière lampe..........
Je marche à travers les mouvances
Au beau mitan de ma lutte............ |
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