

Le temps s'écoule
! Sans décence
Je sens ce grand vide de l'absence
Un papier, qui traîne sur le lit
Dans un vase, une fleur flétrit.
Il s'en est allé simplement sans prévenir
Sait-il ?qu'il me manque à ne plus finir
L'envie, de retrouver ces instants de bonheur
Mais il ne reste que brûlure dans mon cœur
De cette douleur, où trouver mon centre ?
Une voix cherche l'apaisement de mes sens
Dans la continuité de mes rêves et désirs
De ce manque qui m'égare, à ne plus finir.
Épuise t'on jamais ?
Le sentiment de l'absence
Pour quelques pas, arrachés à la tourmente
Comment éviter ? Le vertige de la chute
Et traverser les eaux sans toucher au tumulte.
La brisure n'a pas l'éclat de sa chute
Elle éteint la dernière lampe
Je marche à travers les mouvances
Au beau mitan de ma lutte.

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