

Toi, qui est si
loin de moi
Si loin de mes
pas, tout là bas
Tu as surgis
dans ma vie,
Sans te douter,
ce que serait
mes envies
Un à un, les
jours passaient
Sans penser au
lendemain
Si lointain, ils
me semblaient
Sans me soucier
de mes chagrins.
Je n'étais
qu'une passante
Qui faisait des
rêves interdits
Dans l'oubli de
ces nuits
naissantes
Et de
tant d'ivresse
quand sonnait
minuit.

M'enveloppant d'un
nuage de douceur,
Toi qui me donnais
si bien le ton
Soudain ! Tu as
cassé ton violon,
Sur l'archet de mon
coeur.

Me laissant, dans
le doute et sans
espoir
Quand tu es parti
sans un au revoir
Le temps me
semblait suspendu
Face à face avec
ce vide absolu.
Je voudrais que mes
bras s'allongent
Et traversent
l'océan, pour te
retrouver
Et que mes rêves se
prolongent
Jusque dans
l'éternité.
Il me reste de
cette histoire
Que des souvenirs
miroirs
De cette fin sans
au revoir
Ne laissant, que
désespoir.

  
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