Toi, qui est si loin de moi
Si loin de mes pas, tout là bas
Tu as surgis dans ma vie,
Sans te douter, ce que serait mes envies



Un à un, les jours passaient
Sans penser au lendemain
Si lointain, ils me semblaient
Sans me soucier de mes chagrins.



Je n'étais qu'une passante
Qui faisait des rêves interdits
Dans l'oubli de ces nuits naissantes
Et de tant d'ivresse quand sonnait minuit.

M'enveloppant d'un nuage de douceur,
Toi qui me donnais si bien le ton
Soudain ! Tu as cassé ton violon,
Sur l'archet de mon coeur.

Me laissant, dans le doute et sans espoir
Quand tu es parti sans un au revoir
Le temps me semblait suspendu
Face à face avec ce vide absolu.

 

Je voudrais que mes bras s'allongent
Et traversent l'océan, pour te retrouver
Et que mes rêves se prolongent
Jusque dans l'éternité.


Il me reste de cette histoire
Que des souvenirs miroirs
De cette fin sans au revoir
Ne laissant, que désespoir.

 

 

 

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 Page créée le Samedi 15 Mars 2008

Révision : dimanche 16 mars 2008 01:54:18 +0100.

Auteur des textes :     Concepteur du site: Richard